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Mon copain 21ans est alcoolique

Par Profil supprimé

Bonjour,

Mon copain, 21ans ... est alcoolique et notre relation en subit les conséquences.

Nous nous sommes rencontrés par le biais d'amis en commun avec lesquels nous sortions beaucoup, et comme tout bon étudiant qui se respecte il était impossible de louper les ''happy hours'' ! (rire sarcastique ...) Les sorties (très) alcoolisées en semaine comme en weekend ne se faisaient donc pas prier. Je n'étais pas alarmée parce qu'il y avait un cadre (les sorties avec les potes), mais rapidement je me suis rendue compte qu'il buvait seul (une bouteille de vodka par exemple), c'était le début de notre relation, ça se concrétisait et les sentiments de formaient. Je refoulais l'idée qu'il puisse avoir une addiction, je l’idolâtrais trop et j'étais aveuglée. Seulement, il avait ses périodes, comme il les appelle, des périodes noires qui le plongeaient dans une mélancolie extrême et qui m'affectaient tout autant.

Durant ces périodes il était à la limite du dépressif, il était ouvert à la discussion (point positif !), j'essayais tant bien que mal de le comprendre, de mettre avec lui les mots sur ce qui n'allait pas et sur ce qui le mettait dans ces états. Il se posait beaucoup de questions sur le plan existentiel mais elles tiraient vers le négatif. Je lui ai suggéré implicitement de commencer une thérapie, il n'était pas contre l'idée mais n'a jamais entrepris les démarches nécessaires, en somme un coup de fil suffisait...
Ces périodes s'estompaient, mais la mélancolie cédait sa place à l'euphorie et à la maniaquerie. Et a chaque nouvelle crise (ses périodes) notre relation en faisait les frais, et j'en ai fait particulièrement les frais...

Aujoud'hui j'ai conscience de son addiction et lui a conscience qu'il a un rapport particulier avec l'alcool. Il n'a pas encore ce déclic ou cette volonté lui permettant d'avancer. Je sais que ce n'est pas facile, que c'est compliqué car cela touche l'égo ; entreprendre une thérapie et essayer de se (faire) soigner signifie aussi : être malade. Je ne vois pas d'autre issue que celle qu'il se fasse aider.
J'aimerai que ça vienne de lui, et je n'ai pas envie de lui poser l'ultimatum ''Arrêtes l'alcool, suis une thérapie ou je te quitte" (dans l'idée).

J'arrive à un point où je suis désespérée mais j'ai encore espoir ...

Avez-vous eu une expérience similaire ? Ou des conseils ?

Merci d'avance

Commentaire du modérateur

Bonjour,

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